Pas très loin de Faverges
Ses habitants sont les Colombines/Colombins ou Saintes-Colombiennes/Saints-Colombiens, en patois Coinards (261 Hab. en 1999)
Localisation
A l’extrême sud-ouest du département à la « frontière » de la Savoie, le charmant petit village de Cons-Sainte-Colombe, est blotti à 550 m d’altitude environ au pied de la Dent de Cons, légèrement à l’écart du trafic de la RN 508. Il se trouve à environ 18 km d’Albertville, 8 km d’Ugine et 30 km d’Annecy. Faverges, le chef-lieu du canton, n’est qu’à deux kilomètres.
Fours à chaux, construits côte à côte au pied de la butte, exploités de 1750 à 1878
le village et le petit ramoneur.
Dans les villages des montagnes savoyardes, et particulièrement à Cons Sainte Colombe, les hivers étaient longs et rudes. Les familles étaient nombreuses,et nourrir tous les enfants devenait très difficile. Souvent, les pères devenaient colporteurs. Ceux de Cons Sainte Colombe "coltinaient la balle", parcourant les campagnes de la Marne, de la Moselle. Certains allaient jusqu'en Belgique (Namur), Portant de gros ballots de marchandises à vendre, pour ramener un peu d'argent à la maison au printemps.
Les enfants étaient souvent embauchés comme ramoneurs. On prenait des enfants de 6 à 12 ans en raison de leur petite taille pour ramoner les cheminées. Les petits ramoneurs partaient en groupe, au début de l’hiver, sous la conduite d’un patron chargé de recueillir l’argent et de nourrir les enfants. Mais, souvent le maître les traitait durement et ils étaient obligés de mendier. Les petits ramoneurs se rendaient dans des villes éloignées en France ou à l’étranger. Les enfants revenaient au printemps dans leurs familles, pour aider leurs parents aux travaux des champs. Le petit ramoneur devait monter dans la cheminée en s’aidant des genoux et des pieds. A l’aide d’une raclette, il détachait la suie des parois. Pour ce travail pénible. il disposait d’une échelle en plus de la raclette.
Afin de se protéger, il portait des genouillères et des coudes en cuir, ainsi qu’un bonnet qu’il rabattait sur le visage pour éviter que la suie ne lui pique les yeux, et enfin un sac pour recueillir la suie. Malgré ces précautions, la peau, les yeux et les poumons des petits ramoneurs souffraient beaucoup. Dans son ouvrage " Cons Sainte Colombe sous la Restauration Sarde" Robert Lathuraz ( voir chapitre suivant) rapporte que, encore durant l'hiver1906 son père, alors âgé de 8 ans ramonait à Troye et à Reims; il était parti "in groba". Dans les archives communales on retrouve le départ de ces jeunes ramoneurs raconté par le chanoine Grillet. La vie de ses enfants devaient être extrêmement dure, le registre d'état civil de la commune en l'année 1862, porte:
"Millet Joseph
-Ramoneur
- fils de Philiberte P
-8 ans 10 mois,de passage, meurt à Chatillon sur Seine (Côte d'Or)"
Mon Parrain Bob Lathuraz un "Insoumis" !!
En 1942, pendant l'Occupation, se développe à l'intérieur de l'Eglise catholique une prise de conscience de la déchristianisation de la population ouvrière des villes industrielles alors que la Jeunesse ouvrière chrétienne (JOC) poursuit clandestinement son activité.
On préconise pour pallier l'absence de l'idée chrétienne dans le monde ouvrier que le prêtre français engage dans son pays une action qui serait véritablement missionnaire en épousant la condition ouvrière. C'est alors que les évêques décident la création d'un séminaire pour former des prêtres préparés à vivre en équipe dans des secteurs déchristianisés. C'est la Mission de France. Les prêtres qui y sont formés partent dans les diocèses où les évêques sont demandeurs.
Le cardinal Suhard procède à la création d'une équipe qui partira en mission dans la classe ouvrière parisienne. C'est la Mission de Paris fondée le 1er juillet 1943. Cette mission est placée sous l'autorité directe de l'archevêque de Paris et compte à sa naissance 7 membres (25 en 1953). L'équipe de la Mission de Paris plus importante et plus diversifiée, devient un peu le centre de référence des provinciaux. De 1944 à 1946, des équipes se constituent à Lyon, au Havre, à Marseille, à Limoges, à Saint-Etienne, à Bordeaux ainsi que dans les Alpes (équipe dite "des barrages"). Les prêtres-ouvriers découvrent la vie ouvrière, les grèves en particulier celles de 1947, le compagnonnage avec les militants de FO, de la CGT et du PC, les manifestations comme celle organisée à Paris le 28 mai 1952 par le mouvement de la Paix où deux prêtres-ouvriers sont victimes de violences de la part des forces de l'ordre. Ils sont une quarantaine en 1947, une centaine, en 1954. Le séminaire de la Mission de France est fermé en septembre 1953. En effet, le 23 septembre 1953, Mgr Marella, nonce, informe le cardinal Liénart de la décision du Vatican d'arrêter l'expérience des prêtres-ouvriers. "Ils sont un scandale pour les chrétiens et ils font courir un grave péril à l'Eglise". Il est donc ordonné aux prêtres ouvriers de quitter le travail et tout engagement syndical et de reprendre la forme traditionnelle du sacerdoce. Une cinquantaine choisissent de ne pas obtempérer.
Ce sont les insoumis. Certains se regroupent autour de Bob Lathuraz .
Robert dit Bob Lathuraz est né en 1921 à Seythenex (Haute-Savoie). Mineur à Saint-Etienne, il entre au séminaire de la Mission de France à Lisieux, est séminariste à la Tuilerie Montchanin pendant l'été 45. Il entre au sanatorium de Thorenc en 1948. Prêtre de la Mission de France, il est aumônier du sana La Souterraine 5, ouvrier boucher aux abattoirs à Montceau-les-Mines en 1951, militant syndical CGT. « Insoumis » en 1954, il travaille comme fraiseur chez Rateau à La Courneuve à partir de 1965, est délégué du personnel et du comité d'entreprise et prend sa retraite en 1981 à Cons-Sainte-Colombe. Il est décédé en 1993 à Cons-Sainte-Colombe en Haute-Savoie. Jusqu'à la fin Bob s'est battu pour ses convictions. Excommunié de l'Eglise catholique l'entrée des lieux de culte lui est interdite, même mort. Le 4 Mars 1993, 12 jours avant son décès il dictait;
L'enterrement d'un chrétien a pour habitude de se faire à l'intérieur d'une église.
Cette fois, rien de tout cela : une croix, nue, devant les parvis de l'église, sied mieux à une telle cérémonie
Prêtre, croyant de l'église catholique, il eut été anormal de ne pas passer auprès des lieux qui ont bercé mon enfance et mon éducation religieuse.
Cependant, les difficultés de tous ordres qui se sont hérissées durant mes années de sacerdoce, indépendamment de ma volonté, ont fait qu'il est impossible de célébrer ce sacrifice de la mort du Christ dans des conditions habituelles.
Je prie mes amis de bien vouloir comprendre les raisons qui m'ont amené à rester à l'extérieur de l'église, au milieu de tous ceux qui attendent avec moi la rentrée dans le Royaume, partageant l'espérance qu'un jour les portes de cette 7glise s'ouvriront à tous les enfants de Dieu, c'est à dire à l'Humanité entière sans distinction d'aucune sorte au nom de leur simple qualité d'Homme.
Je vous embrasse tous dans ma tendresse et la tendresse infinie de Dieu, espérant ainsi atteindre à l'universalité de son Amour.
signé de sa main Bob.
église de Cons Sainte Colombe
Pour cette cérémonie, ses amis, les moines de l'abbaye de Tamié étaient autour du catafalque. Sa tombe, repose un peu en bas de l'église dans le cimetière du village, chaque fois que je passe à Faverges je fait un détour pour le saluer. Je lui doit probablement mon prénom, étant son filleul.
le cimetière de Cons sainte Colombe
Cons Sainte Colombe et Nous
Mes contacts avec mon parrain ont été plutôt rares, et je me souviens de peu d'entre eux. Tout petit, vers mes 4 ans il m'avait construit un camion tout en bois, réplique des GMC que les Américains avait abandonnés en Europe à la fin de la guerre. Il répondant toujours à mes courriers, et vers 14 ans il m'avait emmené à l'arrière de sa moto jusqu'au fort de Tamié. Par contre mes souvenirs avec Cons Sainte Colombe se réfèrent surtout aux relations que nous entretenions avec les "Sublet". C'est là que nous avons découvert la vie à la campagne à la fin des années 40 et début des années 50. Ils élevaient 7 à 8 vaches; et nous participions aux différentes activités ; il fallait tirer le fumiers hors de l'écurie, changer les litières, mettre le foin dans les mangeoire depuis la grange située au dessus. Et puis il y avait le cheval qui empestait l'anti-mouche: mais quel bonheur lorsqu'on revenait de moissonner, d'être assis au sommet du char à foin et de tenir les rênes. Le cheval obéissait à nos ordres. AU fond de la remise trônait la bétaillère; elle n'avait pas servit depuis des lustres, les quatre roues étaient à plat: et; là dans la cabine, debout derrière l'immense volant, nous jouions les Charles Vanel du "Salaire de la Peur" parcourant des routes imaginaires que ne limitaient pas l'espace étroit du hangar.
Il y avaient les poules qui pondaient et couvaient n'importe où, les canards dont nous collectionnons les plumes pour parer nos flèches. La cuisine au parquet mal joint, sur lequel fréquemment les poules venaient picorer, la cuisine au gros poêle à bois, voisinant avec le lit "placard" encastré dans le mur et que deux portes ou un rideau pouvait isoler. Dessous, la cave où le cidre était entreposé, à coté du tas de betteraves qu'on râpait comme aliment supplémentaire pour le bovins. Et puis dehors, le bassin pour puiser l'eau, le four où tous les lundis on cuisait les pains de quatre livres, la cabane au fond du jardin avec sa planche percée: la mise à disposition du papier était assuré par les pages de "La case de l'Oncle Tom": juste derrière les ruches. Je ne sais combien de jours nous avons passé ici, mes frères et moi, nous venions souvent à pieds, seuls, depuis Faverges, par contre, pour rentrer, nous aimions utiliser la camionette du fruitier Perissin, lorsque qu'il passait le soir collecter le lait. J'entends encore, les changement de régime du moteur lorsque qu'il changeait de vitesse en bas de la descente, en arrivant dans la plaine.
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Saint-Ferréol est un village de 800 habitants (selon les chiffres du dernier recensement de 1999). Une dizaine de hameaux s'étendent autour de son chef lieu. Les habitants s'appellent les "Ferréolains".
Histoire
Saint Ferréol fut, durant plus de deux siècles, un des lieux de rassemblement des équipes de ramonage. Chaque équipe était composée d’un maître ramoneur et d’une dizaine de jeunes garçons de 8 à 12 ans. Ils rendaient principalement " en France ". Se déplaçant à pied, ils partaient en automne pour ne revenir qu’un printemps.
L'église
Construite au coeur du village, au milieu du 19ème siècle, l'eglise est un témoignage de l'architecture Sarde
La Roue à aubes
Cette belle roue à aubes, placée au cœur du village est le témoignage d’un patrimoine largement répandu sur notre commune : pas moins de sept roues étaient mues par la seule eau du Bief – canal de dérivation de la Chaise.
Saint Férréol et nous
La roue à l'aube était le point de départ de la "croix de fer" route, très escarpée, qu'il fallait grimper ( à vélo) pour rejoindre Séraval, le col des Marais et au bout Thônes. Et, au dessus du village, au hameau de Cuchet, il nous est arrivé, chez la famille Cortay de......vendanger; un raisin rouge, à petit grains. mon âge, à l'époque, ne m'autorisait pas de "tater" de cette piquette ...
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485Hab. Alt.730m
Commune du Pays de Faverges, Seythenex doit son nom à la villa romaine « Sextinacus ». Elle prend de l’importance au XIIème siècle avec la construction de l’Abbaye de Tamié et de la route du Col. Les Seythenayards exploitent les richesses locales des forêts et des alpages et jusqu’au milieu du XIXème siècle, des mines de fer de la Sambuy: aujourd'hui s'y est installé une petite station de ski.
l'église qui domine la vallée de Faverges et au loin la "Belle Etoile"
Eglise St Sigismont
Église néo-classique sarde (1851), retable baroque tardif Mon cousin Roland repose dns le cimetière.
Le pont de Sythenex
Construit de 1908 à 1912 et inauguré le 28 avril de cette même année,le Pont de Seythenex un ouvrage d' art constitué de 4 arches en taille de pierre et un tablier en béton armé,long de 125 m et d'une hauteur de 52m
il est aujourd'hui désaffecté et interdit même aux piétons.
Grotte et Cascade de Seythenex
Les eaux tumultueuses du St Ruph prennent naissance au col d'Orgeval dans le massif des Bauges. Elles chutent en une cascade de près de 45 mètres de hauteur en formant quelques marmites de géant avant de s'écouler jusqu'au lac d'Annecy. La grotte La seule cavité ouverte au public en Haute-Savoie, autrefois passage du torrent. . Sur une longueur de 200 mètres, la visite guidée, sur les traces des eaux glaciaires, est une passionnante "leçon de choses" : parois éclatées ou polies, méandres, tourbillons, révèlent la force de l'eau. L'à-pic impressionnant, la fraîcheur des embruns, font vivre un intense moment de nature. Un lieu naturel de fraîcheur où il fait bon flâner et contempler la puissance de l'eau. Je me rappelle y être souvent venu avec mon père, qui assurait, le dimanche, le rôle de guide. Et puis le soir, il y avait guinguette dans la salle du restaurant; le phonographe, dont il fallait régulièrement affuter l'aiguille en bambou, poussait "ma cabane au Canada".
....c'était vers 1950.
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Histoire
Le nom de cette grande abbaye, située sur le torrent du Bar, en Savoie et au diocèse de Tarentaise (aujourd’hui région de Savoie) ne vient pas d’une contraction des mots « Saint Amédée » mais d’un sommet ou passage, en français « col de Tamié », en latin «Stamedium »
L'abbaye Notre Dame de Tamié accueille une communauté cistercienne de vingt-sept moines. C’est l’archevêque de Tarentaise qui eut l’initiative de cette fondation. Il chercha un emplacement favorable et demanda en 1132 aux seigneurs de Chevron de céder le vallon de Tamié pour y implanter un monastère. Les moines arrivèrent le 16 février 1133 de l’Abbaye de Bonnevaux en Dauphiné.
Pierre fut le premier Abbé de Tamié. Il dirigea la communauté quelques années et son rayonnement devenant important, il fut choisi comme évêque de Tarentaise en 1141. Il mourut en 1174.
L’abbaye de Tamié était prévue pour vingt-cinq moines. Ils étaient astreints à chanter l'office sept fois par jour. Il leur restait peu de temps pour l'étude et les travaux hors du monastère. Les frères convers les secondaient, spécialement dans les exploitations agricoles éloignées. Ils furent relativement nombreux dans les premières années (on peut estimer leur nombre entre 5 et 15) mais quand ils devinrent rares, les fermes furent louées à des particuliers.
Les bâtiments actuels datent du XVIIe siècle et se situent à 900 m d’altitude, à flanc de montagne, dans le voisinage du col de Tamié, sur le territoire de la commune de Plancherine.
La Révolution française provoqua des remous en Savoie. 1790 il y eu une révolte des paysans de Mercury. L'abbé était dom Gabet. Il envisagea avec sa communauté de se réfugier en Piémont après l'invasion de la Savoie par les troupes révolutionnaires le 22 septembre 1792. En 1801 il fut demandé par un certain Buonaparte pour tenir un hospice au col du Mont-Cenis entre la France et l'Italie, ce général devenu empereur put dire au supérieur de la communauté, en passant par là : "Eh dire, Gabet que tu es le seul abbé de mon Empire !".
Depuis 1860, l'abbaye est occupée par des moines trappistes. L'abbaye de Tamié est renommée pour sa liturgie mais seule l'église se visite.
La carte de 1706 des revenus de Tamié depuis 1132
La Carte des possessions de Tamié se présente comme un document de 2 m de côté environ (212 x 189 cm), dessin à l'encre sur papier monté sur toile. Elle se trouve exposée dans le cloître de l'Abbaye de Tamié. Après le départ des moines expulsés par les lois révolutionnaires en 1793, les bâtiments restèrent à l'abandon et furent vidés de leurs meubles, les archives disparurent. On trouve mention de cette carte ainsi que le dessin de 1710 chez un prêtre de la région de Faverges. On ne sait pas quand ni par qui elle revint à Tamié.
Plancherine (gauche), Faverges et ses hameaux dont le Villaret avec son moulin (milieu), Annecy au bord de son lac
Genève, où il y avait un pont sur le Rhône, Chambéry, Capitale des Savoie
Conflans en Savoie, Moutier ( où résidait l'Evêque), Grennoble
Les moines produisent leur célèbre tome de l'abbaye de Tamié qu'ils vendent dans la boutique du monastère et dans de nombreux magasins de la région
Abbaye lieu de visite
Extraits de vidéos où on voit l'Abbaye
l'une est lors du passage du Tours de France cycliste 2007 (double cliquez sur "play" au coin bas gauche)
Le Vallon de Tamié était notre ballade préféré du printemps, nous venions y cueillir des brassées de narcisses. A Pentecôte ou le jeudi de l'Ascension le vicaire de Faverges menait les enfants de Choeur en "pélerinage" à l'Abbaye. Nous redescendions à Faverges avec, encore résonnant dans nos oreilles, les chants grégoriens des Moines, et nos yeux éblouis par la procession autour du cloître; le sol était tapissé de fleurs de montagne dessinant des images religieuses.
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Dés le rattachement de la Savoie à la France, en 1860, il est décidé de renforcer la nouvelle frontière. Par décision gouvernementale l'Etat français mit en chantier plusieurs fortifications. Le fort de Tamié est la plus importante avec 16 hectares et 1800 mètres d'enceinte. Les travaux débutèrent en 1876 et durèrent 5 ans. 600 ouvriers y travaillèrent.
L'intéret stratégique du fort reposait sur sa position lui permettant de contrôler la vallée d'Alberville, le col de Tamié, l'entrée de la vallée de l'Isère vers Moutiers.
Dans les années cinquante, mes frères et moi nous montions durant le printemps, au fort. L'accès aujourd'hui ouvert, n'était pas accessible; le pont levis était relevé, et pour pénétrer à l'intérieur de l'enceinte nous devions contourner les fortifications jusqu'à un point où leur mauvais état permettait de les traverser.
En 1939 le fort est à nouveau armé et occupé par la troupe. Lors de l'armistice de 1940 il est définitivement désarmé et laissé à l'abandon durant des décennies. Acquis par un syndicat intercommunal en 1967, le fort de Tamié est aujourd'hui ouvert au public. La qualité de l'architecture, les panoramas magnifiques sur les Alpes, le sentier botanique sont quelques-uns des points d'intérêt du site.
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à consulter
http://www.pays-de-faverges.com/upload/cons-sainte-colombe/index_gb.html
http://maitron-en-ligne.univ-paris1.fr/spip.php?article137225&id_mot=50